En 2010, une étude publiée dans l'American Journal of Clinical Nutrition avait alarmé les médias. Elle concluait que les femmes enceintes consommant des sodas light avaient plus de risques d'accoucher prématurément que les autres.
À la demande du ministère chargé de la Santé, l’ANSES a donc étudié les effets de la consommation des additifs. Mis à part quelques cas spécifiques (diabète par exemple), nous pouvons prendre l’habitude de consommer « moins sucré » ou « sans sucre » notre café, les tisanes, les yaourts et fromages blancs… Quant aux sodas, s’ils sont consommés de manière raisonnable et dans le cadre d’une alimentation équilibrée, on peut se passer des versions « light ».
(*)La dose journalière acceptable est la quantité d’une substance qui peut être consommée quotidiennement durant toute la durée d’une vie sans risque significatif pour la santé.